Juriste en conseil et contentieux des affaires, Charlène Caussanel exerce au sein du service « Contrat, Droit économique et Propriété intellectuelle » depuis 2015. Elle partage son goût pour la recherche, la relation clients, l’évolution constante et la diversité de son travail.
Quel a été votre parcours avant d’intégrer le cabinet Vauban ?
Mon expérience était axée en droit international. Je suis titulaire d’un Master 1 en droit des Affaires internationales et d’un Master 2 Juriste européen. Je travaillais au sein du Réseau Entreprise Europe de la Commission européenne en accompagnant les entreprises dans leur démarche d’internationalisation et d’innovation. Afin d’élargir mes compétences, j’ai ensuite obtenu un D.U. Droit français des affaires.
Trois qualités indispensables
Calme et équilibre de vie
Adaptabilité
Mise en adéquation de la demande du client et des solutions juridiques
Quel est votre rôle chez Vauban Avocats ?
Je travaille au sein du service « Contrats, Droit économique et Propriété intellectuelle ». Je fais essentiellement du conseil en rédigeant des consultations juridiques, des contrats tels que des baux commerciaux, des contrats de distribution, de franchise, de prestation de services, d’agent commercial ou encore des CGV de vente classique ou de vente par internet. J’interviens en matière de RGPD. En outre, je dépose des marques françaises et européennes et je gère le contentieux en matière de marques. À mon arrivée ici, le droit de la propriété intellectuelle et la protection des données personnelles étaient peu développés ; c’est une activité plutôt rare en dehors des cabinets parisiens spécialisés. Mes compétences en communication m’aident à rendre le droit plus compréhensible aux clients.
« Sur les thématiques transverses, la discussion
fait émerger des visions complémentaires. »
Comment vous organisez-vous au sein du cabinet ?
Je travaille principalement seule et avec G. Lefebvre ; il est un excellent formateur. Il me fait confiance, m’a donné beaucoup d’autonomie tout en étant présent dès que j’en ai besoin. Sur les thématiques transverses, je n’hésite pas à consulter mes collègues des autres services : même si l’on connaît un domaine, la discussion fait émerger des visions complémentaires.