À 31 ans, Amandine Siembida est associée depuis 2019 au cabinet Vauban. Responsable du service contentieux commercial, elle ajoute à ses compétences celle de la médiation. Focus sur son parcours et son engagement au sein du cabinet.
Quel est votre cursus de formation ?
Après une formation en droit privé, j’ai opté pour une approche business en partenariat avec l’EDHEC Business School dans le cadre de mon cursus à l’école d’avocats. Le travail dans différentes juridictions a conforté mon choix pour le droit commercial, très stimulant intellectuellement. Mon expérience comme juriste en alternance au sein d’une entreprise de transport m’a permis d’appréhender d’autres points de vue.
Quel est votre parcours au sein de Vauban avocats ?
En 2016, après avoir effectué mes stages au sein du cabinet Vauban, j’ai choisi de rester. Dès ma seconde année de collaboration, il m’a été proposé de devenir associée. C’est une marque de confiance dans la continuité de mon parcours.
Au sein de Vauban avocats, je tire bénéfice de l’expérience de mes collègues. C’est une volonté déterminée du cabinet d’accompagner des associés plus jeunes.
Qu’est-ce qui dans le fonctionnement du cabinet vous plaît particulièrement ?
J’apprécie de travailler dans une structure à taille humaine où les échanges transversaux entre les pôles sont fluides et riches. Ainsi, les stratégies de dossiers font l’objet au départ de discussions. De plus, le cabinet veille à rester à la pointe de l’actualité juridique afin d’offrir le meilleur conseil.
Quelles sont vos perspectives en tant qu’associée au sein du cabinet Vauban ?
Je souhaitais m’impliquer dans la gestion du cabinet et des équipes, améliorer les méthodes pour me consacrer pleinement au fond des dossiers. Actuellement, je codirige le service avec Grégory Lefebvre, l’objectif étant que je devienne totalement autonome.
Pourquoi ajouter la carte de la médiation ?
Persister dans le conflit ne sert pas toujours les intérêts du client. Nous sommes plusieurs avocats formés à la médiation, et comme de plus en plus de juridictions en proposent, il est primordial que nous puissions accompagner nos clients. Cela peut être une étape dans le processus ; renouer le dialogue évite parfois le conflit et le procès. Ma boussole demeure l’intérêt de mon client.
